La Prophétie du 14 jouillet 14

 

la prophétie des clowns, un envahissement défilatoire naZional réussi
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Mise en Bouche par Albertine:
SOuveNez-vous, elle avait comencé à circuler il y a un an, cette rumeur du chevauchement des champs miliTerre, par nos farces arNEZ. Et elle a Belle et bien eu lieu.
Le 14 juillet 2014, les clownistaniais de fRance et d’ailleurs, ont honoré le destin prémonistique. Comme annoncé, nous avons défilé aux cotés des fiers combattants, et réparé l’intolérable affront fait à notre arNez de ne pas avoir mérité d’invitation . Tout cela était avant la déclaration de Gaie-guerre à la Rance, les incidents dimplomatiques et tout ce qui s’en suivit, bref lorsqu’il y avait encore une corrélation possible entre les représentateurs patriotiques de la préseidence élizéresque et nous, avant le grand dérapage. 
La veille préparatoire:
  • la rencontre interbrigades de Dimanche comptée par capt’aime plumotte:
La PIF était fort excitée quand l’idée fut venue de rencontrer ses con-pas-tristes du Clownistan venus des quatres coins de la Rance et de quelques parts à lOu?est.  Ils avaient concocté dans leurs esprits maniakelliques d’aller ensemble à la capitale, exhiber leurs farces et leurs armes de désirsion massive sur la plus large allée de goudron recouvrant l’ancienne forêt du bassin parisible. Les trouvailles et les retrouvailles furent joyesques. Sitôt les cérémonialz ancestraux achevés, le Clownistan, ainsi réuni, se lança à l’assaut de l’ambitieux projet de participer à la grande farce nationale, annivers-ère de la pas très gaie-guerre de 06 14 18, révant d’accomplir ainsi la grande prophete-cie des clowns. 
        
  • la division celullaire en équipe de préparation de l’action comptée par émichouette
Les bRigades se sont enfin retrouvées, nous étions sacrèment nombreux, oulalala, toutes et tous, nous voulions investir les lieux, à notre manière…
Benbref, une division cellulaire se mit en place … 3 noyaux durs : un noyau de cerise, qui pensaient se fondre dans la masse populaire pour jouer héhé, au médiateur, tsais celui qui essplique aux gens quoi qu’on  fait là, au cas où ils ne comprendraient pas qu’on fait les clowns, quoi… et un noyau de pêche, un peu plus gros le noyau de pèche, celui-là, il pensait avec toute la naïveté de ses clowns, qu’ils pourraient, sagement et tranquillement s’amuser, derrière les barrières, pour faire comme une disctractversion, tu vois ? ben nous on les a pas vu mais parait que c’était chouette quand même ! Et le dernier noyau, un noyau de pomme, celui-là était peuplé de clowns un peu clowns, qui voulaient sauter la barrière, ils n’en pouvaient simplement plus de se voir éjecter latéralement de ce gRand défilé des farces arNEZ, faut quand même pas l’oublier ça : on NEZ la plus grande arNez du monde entNiEZ
  • L’atelier: on veut passer par dessus les barrières: 
Donc ceux qui voulaient passer par-dessus se sont retrouvés chaleureusement, pour parler, comme s’ils ne parlaient pas assez, ils voulaient encore parler. Alors nous parlâmes, pour raconter qu’on voulait quand même pas se faire trop enkikiner par les farces des ordres internationaleaux qui seraient présents, la discussion devin après, un peu plus stratégique, comme gargamel, nous avons mis au point un système infaillible pour prendre au laceau  les grands champs élizés !! La discussion permis de mettre au point, un laché de clowns gigantesque, des clowns par millions qui abordent tous à la même Heure, oui oui en même temps (enfin ce n’est que ce que nous avions prévu !!), le but étant évidemment de passer le plus inclownito possible jusqu’à l’heure H, et ensuite de se faire quand même remarquer a côtés des grands invités… La discussion alla et virevolta dans tous les sens des coins du cercle de parole jusqu’au moment où la stratégie finale fut mise au point, et que nous nous retrouvions tous avant de nous éclater !!!! 
  • – L’atelier on veut pas passer par dessus les barrière:
Du coup du seul, y’en a qui voulaient pas se mouiller le bout des plumes en passant les barrières!! hahaha qu’ils ont cru ces clowns, croyez-moi, c’était sans compter sur nos chers COMpatrignons qui étaient, eux, déjà derrière la barrière… nous y reviendrons derrière la barrière !! 
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Le jour prophétique :
  • – L’action on passe par dessus:

Et là, ce fut l’heure H (entendu que nous n’ayions pas tous la même heure H)!

Après une métaporphose spectaculaire de nos clowns-soldats, ils gravirent un à un les barrières, et se jetèrent à l’assaut de la butte derrière laquelle nous étions géostratégiquement délocalisés. Arrivée en haut du promontoire, Aka 47, après un saut des plus périlleux, poussa son cri de victoire et, après un volte-face mémorable, parti comme une flèche à l’assaut du boulevard. Dans le même élan, capita’aime plumotte alias manumilitarire, déployant ses ailes, dévala la pente, et après quelques esquives promptement exécutées, se jeta dans les bras des farces de sécurité.

Ils eurent du mal à immobiliser la folie qui semblait habiter cette clown en passe de perdre momentanément sa liberté au lieu de vivre sa gloire. Hésitant entre l’hôtel des étoiles de police et l’hopital des océans psychiatriques pour accueillir cet être au langage si incompréhensible, ils s’accordèrent pour ne pas se séparer d’elle (et de ne pas la séparer de ses semblables). Tous dans le panier à salade! ouai!

  • -L’action on passe par dessus deuxième point de vue par Albertine :

Top chrono c’est parti ! On se métamorphose en flash et hop ! La première vague saute par-dessus la barrière pour enjamber la colline qui nous sépare de nos confrères marchant fièrement à la pas trie fRançaise et s’élancent. Les bleus, qui n’ont rien compris, crient : « C’est des intermittents ! » Alors que ceux-là, ils avaient vraiment été invités pour danser à la fin du défilé ! Deuxième vague d’enjambement et. . . atterrissage sur le sol interdit réussi! Esquive d’un goal policé à droite qui joue au chat et à la souris avec un défileur improvisé, une percée vers la gauche en sprint, 2 pas sur le côté ET boum ! Magnifique plaquage au sol d’un gendarmencivil, qui m’envoie humer l’herbe polluée à la vie parisienne, avant de me passer des menues menottes sans fourrures. Une clownette se colle aussi au vert urbain, aidée de 2 unifrormés bleus qui s’exclament fièrement « On l’a eu ! On l’a eu ! » Chapeau messieurs, que je pense en faisant remarquer à ma camarade la douceur de la verdure. Ils nous sortent ensuite du champ d’honneur avant de se demander « Où qu’on est ? ». « Avenue Maginaux ! » je les informe. Accompagnées de mon escorte de chats, on est dirigées vers la panier à salade des non-invités mal reçus, reconduis au comiCo. Les passants interloqués, amusés, septiques ou admiratifs nous regardent passer, je les salut joyeusement en volant de temps en temps, tellement qu’on m’agrippe fort pour pas que je m’échappe et que je garde le souvenir sur mes bras de notre jeux.

« _Alors, contente du défilé ? » me demande un Gens d’arme

_Bof un peu déçue, dix seconde c’est un peu court pour une telle préparation, mais on fera mieux l’année prochaine ! 

_Bah je comprends, mais moi si je vous laisse faire, je vais me faire disputer par mon supérieur. » Ah oui, on n’a pas tous la chance d’être tous le chef…

« _C’est quoi votre mouvance ??? » postillonne un attrapeur à la clownette derrière moi.

_C’est quoi ta mouvance ? me répète ma collègue, Moi c’est plutôt jazzy.

_Ah moi c’est plutôt growvy growvy, je dis en dansouillant tant que faire se peut.

 

Un autre loulou me demande des papiers, je cherche dans mes poches et lui tend un mouchoir usagé, il a pas l’air satisfait. . . Je réfléchi et lui demande si c’est pas plutôt un papier avec une photo de moi dessus qu’il veut, un truc « d’identité » qu’ils appellent ça… mais en vrai ça tient pas sur si peu de place une identité, qu’elle crédulité ! Je lui ai montré quand même, pour le rassurer que je l’avais, mon identification. 

On marche vers notre véhicule et je me rappelle qu’avoir les mains libre et des petits poignets pourrait bien marcher ensemble, alors je glisse une de mes pattes hors de mon lien. Ça a presque marché quand mon garde du corps capte la triche et clap ! « Tu veux jouer à ça ! ? », Qui lance en resserrant tellement qu’on peut plus y jouer, « Bah pas moi », que ça sous-entend. ‘Apprécient pas la triche ces bêtes-là, pi surtout de pas choisir les règles ou le jeu. Près du carrosse, on nous assoit par terre pendant qui demandent au plus cher payés ce qui faut faire de nous. Pendant ce temps, entre deux coucou aux passants, j’innove un nouveau jeu, passer les bras menottés du dos par dessous les jambes, pour les récupérer devant. Mon partenaire attentif a intercepté mon mouvement encore plus promptement que la première fois ! On s’amuse comme des petits fous, lui et  moi. On nous aligne debout sur une ligne, alors on fait fièrement le garde à vous, le regard sur l’horizon du trottoir d’en face. Un cow-boy qui prenait son rôle très au sérieux, le cure dent au coin de la bouche, nous crache «ça vous amuse de cracher à la gueule de la France qui vous paye vos impôts et votre RSA ? »

On le regarde interloqué, parce que sa réplique raisonnait bizarrement dans nos têtes. On n’avait pas compris que la fRance entière défilait ce jour-là, on croyait que c’était juste les enragés qu’allaient faire diversion en s’entre tuant en Afrique, pendant que les Sacro saintes Industries puisaient tranquillement le sol. . . Des fois, heureusement que les Zhéros de la naZion sont là pour nous remettre les idées droites.

On nous dirige vers le fouillage au corps, la séance de guili-guili qui nous donne le droit de monter à bord. Une fois dedans on est drôlement contents, on chante tutulu tututulu, on saute et on tape sur les murs chaque fois qu’un copain nous rejoint. Après 8 arrivants c’est le grand départ : « Chauffeuse, si t’es championne, appuie-euh appuie-euh ! Chauffeuse, si t’es championne, appuie sur’l’champignon! » Elle appuie tellement, qu’on s’envole tous au plafond aux virages, parce que dans les taxis des farces de l’ordre, y a pas de ceinture, la sur-sécurité étant a-Nul-ée pour les contestataires de jeu.

 

C’est durant ce trajet que ce qui allait devenir le célébrissime hymne des clowns prit naissance. 

 

Une fois arrivés, on a été emmenés dans des bureaux au bout de couloirs sans fenêtres pour qu’y sachent comment qu’on s’appelait, tout ce trajet pour ça je vous jure ! Un des inquisiteurs a quand même sorti un conseil, à moi et ma copine clownette, qui méritait le détour : « Non mais franchement vous êtes pas mal, et votre copine non plus, à quoi ça rime de vous ridiculisez comme ça ? Vous seriez mieux sur la plage à bronzer. » Mesdames et Monsieur, heureusement qu’il y a les farces de l’ordre pour rappeler aux vagineuses leurs place initiales dans la société, parce qu’un casque d’aviateur et des grosses chaussures sont inadéquate avec la visée millénaire de plaire aux biteux.  Un autre a donné un conseil plus pertinent, qu’était de chanter On n’est pas là pour se faire engueuler au prochain défilé, c’est noté !

Et après c’est le mieux, on est emmené dans une grande cour de récrée rien que pour nous ! Avec capit’aine plumotte, on danse.

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  • L’action on reste derrière les barrières par Milipouet
C’est  un peu solitaires que des clowns ont voulu profiter du défilet côté pest’acteurs. Mais de ce côté, y avait beaucoup moins de place (pas du tout  en fait) parce que figurez-vous que le rendez-vous de regardage de piétinement de goudron avait été donné au monde entier, et plein de monde s’était senti concerné ! Illes voulaient, si j’ai bien décrypté, admirer les belles tenues qu’on pouvait  mettre pour tasser le sol. Et c’est vrai qu’on en a eu, de la belle  tenue. Il y avait des ponpons comme j’en n’avait jamais vu dans ma vie : sur  la tête, sur les épaules, et même sur les dadas tout bien peignés ! Non, c’était impressionnant, faut le dire. Et ce qui était bien c’est que c’était pas la peine de parler fRançais pour apprécier, y avait qu’à voir. Oui parce que pour ceulles qui voyaient rien par contre, c’était pas facile de comprendre ce qui se passait ou pas. En même temps, quand on vient de tchin parce qu’on nous a invité pour regarder un tassage de l’asphalte, on s’attend à quelque chose de grand, d’impressionnant, un peu rituel, sacré même. Et quand on ne voit que son voisin de devant qui prend des photos des voisins de un peu plus devant, ça fait drôle. Mais bon par politesse, on ne va pas montrer qu’on s’ennuie depuis 7h ce matin qu’on attend qu’ils lèvent leurs genoux les beaux môssieurs (oui les tchinois sont très polis), on va juste aller voir un autre truc au moins aussi chouette dans la ville de la rômance.
 
Mais quand même a un moment il s’est passé quelque chose d’énorme. Et d’incompréhensible. Il y a eu la guerre. Et personne ne réagissait. Des énormes avions nous ont fait frémir les tympans en fandant l’air qui nous servait de plafond. C’était l’apocalypse : non seulement ils étaient très nombreux, mais comme pour nous effrayer le plus fort qu’ils pouvaient (technique d’intimidation basique), ils ont envoyé leurs machines des plus petites aux plus grosses ! Si bien qu’on ne savait pas quand et comment ça allait se terminer ! Et la chose la plus surprenante dans l’histoire, c’est que personne n’a eu peur (sauf moi mais tu répètes pas). Comme si c’était pas possible d’utiliser ces gros engins pour autre chose que pour faire joli (d’ailleurs, si ça avait été plus silencieux, j’aurais demandé à mes voisin-e-s s’illes trouvaient ça joli…) ! Dans la grosse panique qui m’assaillait, j’ai discrètement confié à ma voisine le défilement de ma vie qui s’imposait à moi, et elle m’a gentiement rassurée… puis m’a demandé de me taire. Cette dame m’a exposé une idée assez floue de souvenir des guerres passées, des morts qu’elles avaient causés, d’anniversaire… Tout ça m’a laissée perplexe, alors pour mieux réfléchir à la question, et pour me reposer aussi, j’ai tenté une progressive extirpade de la dense foule polyglotte.
 
A ce moment-là on m’a annoncé que j’avais des copaines qui faisaient de drôles de bêtises – au moins là, il se passait quelque chose ! Les gens rigolaient bien, et puis des gens bleus se sont mis à me regarder un peu fort, et ils ont décidé d’aller se ballader avec moi. Ils devaient en avoir marre du défilé, je me suis dit. En fait pas du tout, ils étaient tristes de partir ils disaient, alors j’ai pensé qu’ils devaient sacrément m’aimer pour vouloir se ballader avec moi juste au moment du pestac. Sur le chemin, on en a profité pour faire un peu de sport en slalomant autour des poteaux de trottoir – ça a un peu détendu l’atmosphère – et puis on est arrivé à l’endroit où illes demandaient des paiers à tous ceux qui avaient un nez coloré. Je me suis dit qu’ils avaient mal choisi leur catégorie, parce que souvent avec ces créatures-là ça prend plus de temps qu’avec les autres… Mais illes étaient bien décidé-e-s. Illes sont arrivé-e-s à leurs fins et nous ont rangé dans des coffres par équipes… c’était le début d’une nouvelle aventure !…

 

Bon, alors moi, eX-capt’Aime GaMelle, j’y était aussi à vot’14jouillet de l’an 14…en tant que vénérant(et oui L’ART nait des clownes avait déjà envahie la Nation l’année présidente!).

Eh j’n’y ai(je niais…rhÔo j’sais jamais comment ça s’écrit les maux!bref) je n’y ai,disais-je (ahoui,ça s’écrit”comme ça s’entend”, c’est vrai,j’oubli tout le temps, vs savez la mémoire, c’est plus ce que c’était ! Nous, à notre époque…enfin bref, où j’en étais déjà? ah oui…) je ‘n’y avait rien trouvé de bien spécial: comme d’habitude beaucoup de très beaux uni-ForméEs, des très beaux grOz’engins et une parade menée”aux petits’oignonS” par nos mains de maîtreS(qui se sont d’ailleurs fait siffler:j’vous dit, y a plus de respects! A mon époque..)….

Des TRIBUNES de leur monde, malgré la1/2heure de retard, nos gouvernementueurS’et autres gratins pensaient que tout allait bien sur les champs N’Elyssées, même si la situation, aux vues de toutes ces Fées Roses Soldats aurait dut nous alerter:
-Les circonstances (comme tout instant PAISIBLE) étant parfaites pour que le pire arrivasse, et tout à coup, ce fut fait, le Pire arrivât; des défilés de CLOWNES artNez jusk’ô dents enjambèrent des barrières de sécurité et passèrent par-dessus la butte de PERMA-culture, AK47 en avant,Manu militariR ensuite vire volte face et ne désarmèrent point !

Et là,c’est la PANIQUE ! Les gens d’armes s’emmêlèrent les pinceaux!
Passement de jambe, crochets et autres entourloupes!!! tout y passe…mieux que ziZu..
Y’a bien que des clownes pour fait ça à notre si belle NazeSion!!!

Pis tout à coup, j’me mis’à riRE, mAIS’a riRe, aHAHahoHOHohiHiHi comme jamais :
JE REFLECHIS, et rigolle encore plus…ça faisait longtemps que ça ne m’était pas’arrivé ça!!!

Attendez que j’vous explique, ce sera pas long,(fo just ke j’me mouche comme disent &écrivent les jeunes dans leur Mobil);y parait que dans les légions étrangères y en avait aussi de toutes les couleurs et de toutes les Nas’Sion alité…beaucoup de l’WEST et aussi de l’EST…du nord pis aussi du sud…mon jeune Sergent Majeur était lui aussi tout’tétonné par de si belles mixités pour défendre 1″si petit pays”avec tant d’étrangeté de l’intérieur!!!

C’est que nous on s’est toujours battu contre les étranges&autres différents..alors tout à coup en voir autant, c’en était presque écoeurant, on savait plus quoi faire,alors on à rit!!!

Enfin, on a constaté que notre rève inter-rieur(de fort) de sécurité était en train de se réaliser:
Que toutes les armée du monde se réunissent enfin et se prennent la mains plutôt que de se faire la guerre…comme ça y aura plus de danger de se faire attaqué par SURPRISE…même par des clownes…et puis nous, on s’en fout,on est à la retraite, mais vous les jeunes qu’est-ce que vous allez faire…si jamais y’a plus de milisTerre ni de guerre?
hein meÏne serre-joint mineur, ce serait quand m’aiMe triste1monde sans Guerre? Non?